ACTION - Tony Scott retrouve l'un de ses comédiens fétiches...
Denzel Washington, c'est l'incarnation hollywoodienne de la force tranquille. On y croit quand il prend les choses en main pour arrêter un train fou dans Unstoppable de Tony Scott. «Le film est librement inspiré d'un véritable accident, explique l'acteur. J'ai même eu la chance de rencontrer l'homme qui a arrêté le train.»
Accompagné par un «bleu», incarné à l'écran par Chris Pine, ce vétéran des locomotives n'a pas hésité à risquer sa vie pour empêcher un convoi bourré de produits toxiques d'exploser en pleine ville.
Séquences musclées
«Les gens en ont assez des super-héros aux pouvoirs magiques, insiste Denzel Washington, ravi d'avoir appris à piloter un train. Ils veulent des personnages ancrés dans le réel!»
L'acteur n'a pas hésité à payer de sa personne en évoluant sur un train en marche pour quelques séquences musclées. «Etre comédien, c'est savoir garder une part d'enfance et tant pis pour les contusions, ce sont mes blessures de guerre», plaisante-t-il.
A 56 ans, l'Américain s'avoue comblé. «Mon personnage est à mon image: solide et sans chichi. En faire des tonnes, c'est bon quand on est gamin!»
Denzel Washington, c'est l'incarnation hollywoodienne de la force tranquille. On y croit quand il prend les choses en main pour arrêter un train fou dans Unstoppable de Tony Scott. «Le film est librement inspiré d'un véritable accident, explique l'acteur. J'ai même eu la chance de rencontrer l'homme qui a arrêté le train.»
Accompagné par un «bleu», incarné à l'écran par Chris Pine, ce vétéran des locomotives n'a pas hésité à risquer sa vie pour empêcher un convoi bourré de produits toxiques d'exploser en pleine ville.
Séquences musclées
«Les gens en ont assez des super-héros aux pouvoirs magiques, insiste Denzel Washington, ravi d'avoir appris à piloter un train. Ils veulent des personnages ancrés dans le réel!»
L'acteur n'a pas hésité à payer de sa personne en évoluant sur un train en marche pour quelques séquences musclées. «Etre comédien, c'est savoir garder une part d'enfance et tant pis pour les contusions, ce sont mes blessures de guerre», plaisante-t-il.
A 56 ans, l'Américain s'avoue comblé. «Mon personnage est à mon image: solide et sans chichi. En faire des tonnes, c'est bon quand on est gamin!»