Dans un billet publié sur son site internet, le quotidien arabophone EL Hayat a présenté, ce mercredi, ses excuses à l’ensemble des lecteurs après avoir repris comme une information un canular du site satirique français Le Gorafi.
« Nous reconnaissons, à El Hayat, avoir commis une grande erreur après avoir publié une fausse information relative à des déclarations attribuées à la présidente du Front national Marine Le Pen », a reconnu Thabet Hanachi, directeur du quotidien arabophone.
« Cet erreur a été commise par un collègue en l’absence du directeur de la publication en raison de sa maladie. Les mesures adéquates ont été prises à l’encontre du collègue, qui a reconnu son erreur (…) Oui, nous avons commis une erreur et avons présenté nos excuses à nos aimables lecteurs… », a-t-il ajouté.
Mardi, le quotidien El Hayat a publié comme une information un canular publié sur le site satirique français Le Gorafi, faisant état de l’intention de la présidente du Front national, Marine Le Pen, de construire un mur pour séparer la France de l’Algérie. Une affaire qui a fait le bonheur du Gorafi et surtout celui de la presse française, qui n’a pas manqué de relayer largement la bourde d’El Hayat.
« Nous reconnaissons, à El Hayat, avoir commis une grande erreur après avoir publié une fausse information relative à des déclarations attribuées à la présidente du Front national Marine Le Pen », a reconnu Thabet Hanachi, directeur du quotidien arabophone.
« Cet erreur a été commise par un collègue en l’absence du directeur de la publication en raison de sa maladie. Les mesures adéquates ont été prises à l’encontre du collègue, qui a reconnu son erreur (…) Oui, nous avons commis une erreur et avons présenté nos excuses à nos aimables lecteurs… », a-t-il ajouté.
Mardi, le quotidien El Hayat a publié comme une information un canular publié sur le site satirique français Le Gorafi, faisant état de l’intention de la présidente du Front national, Marine Le Pen, de construire un mur pour séparer la France de l’Algérie. Une affaire qui a fait le bonheur du Gorafi et surtout celui de la presse française, qui n’a pas manqué de relayer largement la bourde d’El Hayat.