Réchauffement de la planète
Les Conférences sur le réchauffement climatique
Depuis 1998 à Buenos aires la Terre a été au cœur de nombreux débats lors des conférences sur le réchauffement climatique.
Objectif : trouver les moyens de réduire de 5,2%, d'ici 2010, les émissions de gaz carbonique et de cinq autres gaz responsables du réchauffement du climat.
Les radiations solaires
Trois blocs s'affrontent
Au cours de ces différentes conférences des Nations unies, trois blocs s'affrontent et campent sur leurs positions.
Les Etats-Unis qui ont signé l'accord de Kyoto, mais refusent de s'engager à diminuer de manière significative leurs émissions de CO2. A noter que les Américains sont les premiers pollueurs du monde : ils sont responsables du quart des émissions totales, alors qu'ils ne représentent que 4% de la population mondiale.
Les Européens exigent des réglementations nationales contraignantes. Ils restent réticents face à l'idée américaine d'instaurer des mécanismes de flexibilité, comme le "permis de polluer" qui permettrait aux pays riches et à leurs entreprises d'acheter aux pays en développement le "droit" de produire plus de gaz à effet de serre.
Les pays en voie de développement, (dont la Chine et l'Inde, deuxième et sixième pollueurs mondiaux) n'acceptent pas de réduire leurs émissions si les pays riches, responsables de l'essentiel de la pollution, ne donnent pas l'exemple en prenant des mesures contraignantes.
Un bilan médiocre
En effet, le pré-rapport du GIEC (Groupe intergouvernemental sur l'évolution du climat) n'incite guère à l'optimisme.
Cet organisme qui rassemble les travaux de près de 3000 scientifiques du monde entier prévoit, d'ici 2100, une élévation moyenne des températures de 2°C sur le globe. Un changement qui paraît anodin mais qui pourrait entraîner de gigantesques perturbations du système climatique actuel. Le climat de la terre pourrait se radicaliser: aux grandes sécheresses succéderaient des périodes extrêmement froides et pluvieuses, les cyclones et les ouragans se multiplieraient.
Nous connaissons aujourd'hui les causes et les conséquences de l'effet de serre. Nous savons qu'il n'est pas encore trop tard pour agir et inverser - ou au moins ralentir - la tendance. Nous avons aussi les moyens techniques et scientifiques d'intervenir. Reste à affirmer notre volonté d'agir.
textes entier et source: http://ecologie.nature.free.fr/pages/dossiers/dossier_rechauffement_planete.htm
Les Conférences sur le réchauffement climatique
Depuis 1998 à Buenos aires la Terre a été au cœur de nombreux débats lors des conférences sur le réchauffement climatique.
Objectif : trouver les moyens de réduire de 5,2%, d'ici 2010, les émissions de gaz carbonique et de cinq autres gaz responsables du réchauffement du climat.
Les radiations solaires
Trois blocs s'affrontent
Au cours de ces différentes conférences des Nations unies, trois blocs s'affrontent et campent sur leurs positions.
Les Etats-Unis qui ont signé l'accord de Kyoto, mais refusent de s'engager à diminuer de manière significative leurs émissions de CO2. A noter que les Américains sont les premiers pollueurs du monde : ils sont responsables du quart des émissions totales, alors qu'ils ne représentent que 4% de la population mondiale.
Les Européens exigent des réglementations nationales contraignantes. Ils restent réticents face à l'idée américaine d'instaurer des mécanismes de flexibilité, comme le "permis de polluer" qui permettrait aux pays riches et à leurs entreprises d'acheter aux pays en développement le "droit" de produire plus de gaz à effet de serre.
Les pays en voie de développement, (dont la Chine et l'Inde, deuxième et sixième pollueurs mondiaux) n'acceptent pas de réduire leurs émissions si les pays riches, responsables de l'essentiel de la pollution, ne donnent pas l'exemple en prenant des mesures contraignantes.
Un bilan médiocre
En effet, le pré-rapport du GIEC (Groupe intergouvernemental sur l'évolution du climat) n'incite guère à l'optimisme.
Cet organisme qui rassemble les travaux de près de 3000 scientifiques du monde entier prévoit, d'ici 2100, une élévation moyenne des températures de 2°C sur le globe. Un changement qui paraît anodin mais qui pourrait entraîner de gigantesques perturbations du système climatique actuel. Le climat de la terre pourrait se radicaliser: aux grandes sécheresses succéderaient des périodes extrêmement froides et pluvieuses, les cyclones et les ouragans se multiplieraient.
Nous connaissons aujourd'hui les causes et les conséquences de l'effet de serre. Nous savons qu'il n'est pas encore trop tard pour agir et inverser - ou au moins ralentir - la tendance. Nous avons aussi les moyens techniques et scientifiques d'intervenir. Reste à affirmer notre volonté d'agir.
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Réduire la pollution au quotidien
Chaque individu peut agir à sa façon pour pallier les menaces du changement climatique. Il s'agit de gestes simples et quotidiens.
En ville, pour les déplacements quotidiens inférieurs à 3 km, les transports en commun sont à préférer.
A la maison, en baissant le chauffage d'un seul degré, on peut faire des économies d'énergie considérables. Il faut alors choisir des appareils à faible consommation (sur les produits électroménagers, la consommation est désormais indiquée). Les ampoules électriques économiques, dont certaines durent 10 000 heures, ne consomment que 20% de l'énergie nécessaire aux ampoules traditionnelles à filaments.
Le verre est un meilleur choix que le plastique : ses composants sont naturels et il est recyclé. L'incinération du plastique, en revanche, génère des émissions polluantes.
Avec un peu de bonne volonté, on peut recycler le papier, les piles, l'aluminium et les vêtements; devenir des consommateurs avertis en refusant d'acheter des produits avec des emballages extravagants et inutiles...
textes entier et source: http://ecologie.nature.free.fr/pages/dossiers/dossier_rechauffement_planete.htm